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Publié par Société Française d'Ethnoscénologie (SOFETH)

Quand nous évoquons le terme de « désacralisation », nous pensons bien souvent au religieux et à la perte de la qualité de sacré. La désacralisation passe alors par la représentation ou la non-représentation des signes religieux tels que l’Arche, Dieu, le paradis, l’enfer... C’est le cas par exemple dans certains textes de Mario Brelich, de Le Clézio, de Vigny, etc. Il s’agirait à chaque fois de mettre en question cette loi divine et intouchable, cette relation entre le Bien et le Mal et les conventions sociales qui en résultent. La désacralisation de l’espace serait alors de remettre en question ces « règles » imposées et « sacrées » qui enferment les arts du spectacle et la création dans ce « théâtre tel qu’il se doit d’être».

Quand nous évoquons le terme de « désacralisation », nous pensons bien souvent au religieux et à la perte de la qualité de sacré. La désacralisation passe alors par la représentation ou la non-représentation des signes religieux tels que l’Arche, Dieu, le paradis, l’enfer... C’est le cas par exemple dans certains textes de Mario Brelich, de Le Clézio, de Vigny, etc. Il s’agirait à chaque fois de mettre en question cette loi divine et intouchable, cette relation entre le Bien et le Mal et les conventions sociales qui en résultent. La désacralisation de l’espace serait alors de remettre en question ces « règles » imposées et « sacrées » qui enferment les arts du spectacle et la création dans ce « théâtre tel qu’il se doit d’être».

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