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Publié par Société Française d'Ethnoscénologie (SOFETH)

Au cours des dernières décennies, le rapport entre culture et économie a été marqué par un double mouvement à l’échelle internationale. D’un côté, depuis les années 1970 essentiellement, des voix s’élèvent pour demander la protection d’éléments culturels contre des formes de commercialisation jugées abusives. D’un autre côté, les stratégies de déve- loppement et les organisations internationales (UNESCO, OMPI, OCDE, OMC) envisagent de plus en plus le « patrimoine » ou les « expressions culturelles traditionnelles » comme une ressource de développement, en lien avec les notions d’« industries culturelles » et « créatives ».
Au cours des dernières décennies, le rapport entre culture et économie a été marqué par un double mouvement à l’échelle internationale. D’un côté, depuis les années 1970 essentiellement, des voix s’élèvent pour demander la protection d’éléments culturels contre des formes de commercialisation jugées abusives. D’un autre côté, les stratégies de déve- loppement et les organisations internationales (UNESCO, OMPI, OCDE, OMC) envisagent de plus en plus le « patrimoine » ou les « expressions culturelles traditionnelles » comme une ressource de développement, en lien avec les notions d’« industries culturelles » et « créatives ».
Au cours des dernières décennies, le rapport entre culture et économie a été marqué par un double mouvement à l’échelle internationale. D’un côté, depuis les années 1970 essentiellement, des voix s’élèvent pour demander la protection d’éléments culturels contre des formes de commercialisation jugées abusives. D’un autre côté, les stratégies de déve- loppement et les organisations internationales (UNESCO, OMPI, OCDE, OMC) envisagent de plus en plus le « patrimoine » ou les « expressions culturelles traditionnelles » comme une ressource de développement, en lien avec les notions d’« industries culturelles » et « créatives ».
Au cours des dernières décennies, le rapport entre culture et économie a été marqué par un double mouvement à l’échelle internationale. D’un côté, depuis les années 1970 essentiellement, des voix s’élèvent pour demander la protection d’éléments culturels contre des formes de commercialisation jugées abusives. D’un autre côté, les stratégies de déve- loppement et les organisations internationales (UNESCO, OMPI, OCDE, OMC) envisagent de plus en plus le « patrimoine » ou les « expressions culturelles traditionnelles » comme une ressource de développement, en lien avec les notions d’« industries culturelles » et « créatives ».
Au cours des dernières décennies, le rapport entre culture et économie a été marqué par un double mouvement à l’échelle internationale. D’un côté, depuis les années 1970 essentiellement, des voix s’élèvent pour demander la protection d’éléments culturels contre des formes de commercialisation jugées abusives. D’un autre côté, les stratégies de déve- loppement et les organisations internationales (UNESCO, OMPI, OCDE, OMC) envisagent de plus en plus le « patrimoine » ou les « expressions culturelles traditionnelles » comme une ressource de développement, en lien avec les notions d’« industries culturelles » et « créatives ».
Au cours des dernières décennies, le rapport entre culture et économie a été marqué par un double mouvement à l’échelle internationale. D’un côté, depuis les années 1970 essentiellement, des voix s’élèvent pour demander la protection d’éléments culturels contre des formes de commercialisation jugées abusives. D’un autre côté, les stratégies de déve- loppement et les organisations internationales (UNESCO, OMPI, OCDE, OMC) envisagent de plus en plus le « patrimoine » ou les « expressions culturelles traditionnelles » comme une ressource de développement, en lien avec les notions d’« industries culturelles » et « créatives ».

Au cours des dernières décennies, le rapport entre culture et économie a été marqué par un double mouvement à l’échelle internationale. D’un côté, depuis les années 1970 essentiellement, des voix s’élèvent pour demander la protection d’éléments culturels contre des formes de commercialisation jugées abusives. D’un autre côté, les stratégies de déve- loppement et les organisations internationales (UNESCO, OMPI, OCDE, OMC) envisagent de plus en plus le « patrimoine » ou les « expressions culturelles traditionnelles » comme une ressource de développement, en lien avec les notions d’« industries culturelles » et « créatives ».

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